Entrepreneuriat responsable

Dans cette vidéo, Robin Alauze nous présente LineUp Océan, startup ayant le statut de société à mission, qui est spécialisée dans l’éco-conception au service de l’aménagement des espaces côtiers et littoraux. Entreprise engagée depuis ses débuts, LineUp Ocean développe les digues écologiques de demain, imprimées par impression 3D à grande échelle.  

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. La responsabilité écologique : dans le cas de Lineup Ocean, la notion de responsabilité a été à l’origine de la création de l’entreprise. Il s’agit d’apporter une innovation au service de l’environnement. 

2. L’entrepreneuriat est un processus : pour devenir chef d’entreprise, il est possible d’être accompagné pour se former à l’entrepreneuriat, pour tester son idée et ainsi savoir si on est prêt à se lancer. 

3. La société à mission : La mission d’intérêt général de l’entreprise peut être ajoutée dans ses statuts. On l’appelle ainsi une société à mission et cela permet d’être de plus en plus performant dans la réalisation de cette mission. 

Pour aller plus loin :

Découvrez l’interview complète de Robin Alauze : il revient sur toutes les étapes de son parcours d’entrepreneur, depuis la détection du besoin lorsqu’il était étudiant jusqu’au déploiement de son offre en tant que chef d’entreprise. Dans cette interview nous approfondissons également les sujets liés à la société à mission, au financement et au choix entre entreprise ou association pour avoir un impact durable.

Axeptio est une solution française de gestion des consentements pour les sites internet. Romain Bessuges-Meusy, son fondateur, a créé cet outil pour redonner aux utilisateurs le pouvoir sur leurs données personnelles. Dans cette vidéo, il nous parle de sa vision de la responsabilité d’une entreprise.   

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. La responsabilité sociétale : Axeptio permet de gérer nos données personnelles en ligne. Il s’agit donc d’une responsabilité sociétale. 

2. Le débat entre “la grande vision” et “les petites victoires” :  La responsabilité demande de faire des choix permanents et de prendre en compte l’impact de ces choix. Ici Romain est prêt à prendre l’avion si cela permet de redonner le contrôle aux utilisateurs sur leurs données personnelles. Et inversement, il ne pourrait pas déployer sa solution sans cela et n’aurait donc pas un impact suffisant. 

3. La croissance et la responsabilité : Vouloir rapidement un impact large tout en faisant changer les usages dans plusieurs dizaines de pays, nécessite d’avoir une forte croissance de l’entreprise. Cette hypercroissance peut avoir pour conséquence de remettre en cause les équilibres au sein de l’entreprise. 

Pour aller plus loin :

Ecoutez l’interview complète de Romain Bessuges-Meusy. Il revient sur les étapes du développement d’Axeptio et les enjeux de la gestion des données personnelles. Dans cette interview nous approfondissons plusieurs facettes de la responsabilité d’une entreprise ainsi que les enjeux et les contraintes auxquels elle doit faire face. Nous découvrons aussi qu’il y a des contraintes extérieures à l’entreprise. 

Remma est une place de marché en ligne qui commercialise du matériel biomédical de seconde main, en mettant en relation les professionnels de santé. Dans cette vidéo, Alexandre El Harouchy, fondateur de Remma, nous explique comment son entreprise produit de l’impact positif à plusieurs niveaux, tant sur le plan social que sur le plan environnemental.  

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 
 
1. La notion de production d’impact : Chez Remma, l’impact est à la fois environnemental (grâce au réemploi de matériel biomédical qui permet d’éviter des émissions de CO2 par rapport à la production de matériel neuf), et social, car il facilite l’accès à du matériel de pointe dans les déserts médicaux. 

2. La mesure de l’impact : toute forme d’impact doit être mesurée. Il importe de définir des indicateurs spécifiques et des outils de pilotage. 
3. Le concept de marketplace responsable : Remma permet de mettre la technologie de la marketplace au service d’une mission sociétale. Ici, le business model d’une plateforme intègre les effets vertueux d’impact, environnementaux et sociaux. Concrètement, plus l’entreprise va croître, plus les impacts seront importants. 

Pour aller plus loin :

Visionnez l’interview complète d’Alexandre El Harouchy : il nous en dit plus sur le métier de Remma, son business model et ses ambitions. Dans cette vidéo, il explique notamment comment il a intégré la notion d’impact au centre de son modèle économique, de manière tout à fait corrélée avec la performance financière de l’entreprise. 

Nereus est une PME innovante qui construit des machines industrielles de recyclage des eaux usées. Dans cette interview, Nadège Da Ponte Corp, directrice adjointe de Nereus, nous parle des défis du développement de l’entreprise, engagée depuis sa création en 2013. 

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 
 
1. La responsabilité environnementale est dans l’ADN de Nereus depuis sa création. Cette entreprise engagée a su développer une solution innovante de recyclage des eaux usées, et conquérir un marché international en quelques années, grâce à sa maîtrise des technologies, et à sa capacité d’industrialisation. 

2. Un engagement social fort : au-delà de sa vocation écologique, l’entreprise est également très impliquée sur le plan de la responsabilité sociale, portée par des valeurs fortes et partagées avec les membres de son équipe. 

3. La notion de maitrise des risques : se lancer sur un marché émergent est souvent synonyme de risques élevés. Il faut donc bien écouter son marché pour évaluer la réalité des besoins, et bâtir une stratégie de financement solide. 

Pour aller plus loin :

Pour en savoir plus sur Nereus, écoutez l’interview complète de Nadège Da Ponte Corp. Elle nous en dit plus sur les enjeux de financement de l’innovation rencontrés par Nereus, et les grandes étapes du développement de l’entreprise. Dans cette vidéo, nous détaillerons également la politique de ressources humaines inclusive de Nereus. 

Vineco est une PME basée dans l’Hérault, qui valorise les déchets du vin depuis plus de 20 ans. Stanislas du Maroussem, son dirigeant, nous parle de la reprise de cette entreprise, et de l’importance des valeurs de l’entrepreneur dans la réussite d’un projet d’entreprise à impact. 

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 
 
1. L’entrepreneuriat responsable est très lié à la responsabilité territoriale : Dans ce cas de reprise d’entreprise, la dimension territoriale et sa valorisation s’inscrit dans la stratégie de l’entreprise. Par exemple, une partie des bénéfices est redirigée vers la rénovation d’un élément emblématique du patrimoine foncier local. L’entreprise a donc une double finalité : assurer sa pérennité et contribuer à la valorisation de son territoire. 

2. La responsabilité de l’entreprise doit être incarnée par son dirigeant ou sa dirigeante, qui fixe le cap stratégique et doit conduire ses équipes vers une réussite collective. 

 
3. Ecologie et rentabilité sont tout à fait compatibles : le défi pour l’entrepreneur est de les combiner, en imaginant un business model qui réponde à un vrai besoin du marché. Dans le cas de cette entreprise, la proposition de valeur s’appuie en même temps sur une valorisation des déchets de la filière vin et boissons. 

Pour aller plus loin :

Visionnez l’interview complète de Stanislas du Maroussem. Dans cette vidéo, il nous parle plus en détails du métier de Vineco, de la chaîne de valeur mise en place, et de son engagement en tant qu’entrepreneur, aussi bien sur le plan global qu’au niveau local. 

Annabelle Jaouen, enseignante-chercheure en entrepreneuriat, directrice du MBS Entrepreneurship Center (l’incubateur de Montpellier Business School), évoque l’évolution et les enjeux de l’entrepreneuriat, au service de la responsabilité sociétale, sociale et environnementale.  

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 
 
1. Mettre son activité et son modèle économique au service d’une responsabilité sociétale, sociale et environnementale, vient s’ajouter à la nécessité de rentabilité économique de l’entreprise. 

2. La définition d’une gouvernance partagée entre les équipes et autres parties prenantes. 

 
3. La notion d’entrepreneuriat humaniste : une version augmentée de l’entrepreneuriat responsable, dont la finalité est orientée vers la préservation et le bien-être du vivant au sens large. 

Pour Annabelle Jaouen, l’entrepreneuriat responsable est bien plus qu’une tendance, c’est bel et bien une nouvelle génération d’entrepreneurs qui est en marche. 

Pour aller plus loin :

Pour en savoir plus sur la vision d’Annabelle Jaouen, spécialiste de l’entrepreneuriat, visionnez son interview complète. Dans cette vidéo, nous allons plus loin sur les différentes dimensions d’un modèle économique responsable, les questions de gouvernance, et la notion d’entrepreneuriat humaniste dans le prolongement de l’entrepreneuriat responsable. 

Dans cette vidéo, Frédéric Salles nous présente SCOP 3, startup qui accompagne les entreprises dans leurs projets d’aménagement de locaux avec du mobilier reconditionné. Une entreprise engagée depuis sa création dans la réduction de l’impact environnemental lié au mobilier d’entreprise. 

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. La recherche du modèle économique : Le premier modèle économique adopté par une entreprise n’est pas forcément le meilleur. Il faut réussir à s’adapter aux demandes du marché pour trouver la bonne formule et générer une croissance durable. 

2. Le besoin de preuves : Pour lever des fonds, il faut démontrer que la société est capable d’être rentable, et donc pouvoir fournir des preuves de marché, autrement dit de génération de chiffre d’affaires.  

3. L’impact score : Il s’agit d’un référentiel de mesure de l’impact de l’organisation. Toute entreprise peut réaliser son propre audit en ligne, afin de faire le point sur l’impact de ses activités, et d’améliorer ses pratiques d’année en année. 

Pour aller plus loin :

Nous approfondissons ces différents sujets dans l’interview complète de Frédéric Salles. En tant que serial entrepreneur, il aborde les différences entre le développement de ses deux entreprises, et nous explique comment il a abordé un marché qu’il ne connaissait pas pour bâtir le succès de SCOP3. 

Dans cette vidéo, Morgane Le Breton nous parle de l’engagement de Maison Le Breton, domaine viti-vinicole familial qui a basé son développement sur des pratiques durables, en structurant sa stratégie autour d’une démarche RSE globale. 

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. “Le bon, le bien, le beau” : ces trois mots définissent la mission de l’entreprise et permettent de structurer ses engagements en trois axes. Maison Le Breton a en effet placé les enjeux de responsabilité sociale et environnementale au cœur de sa stratégie de développement. 

2. La formalisation de cette démarche RSE, qui se traduit par : 

• un mission définie dans les statuts de l’entreprise 

• un comité de pilotage RSE qui réunit chaque année les parties prenantes 

• une certification B Corp qui permet à l’entreprise de mesurer concrètement son impact sociétal et de s’améliorer en permanence. 

3. La diffusion d’une culture d’entreprise forte, qui fédère les équipes autour d’une mission commune, et permet d’engager les parties prenantes externes dans la réalisation de cette mission. 

Pour aller plus loin :

Pour en savoir plus sur les outils de pilotage et les engagements de Maison Le Breton, visionnez l’interview complète de Morgane Le Breton. 

Dans cette vidéo, Arthur Capon nous parle de son aventure en tant que fondateur de La Brigade de Véro, un service de livraison de plats sains et faits maison.

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. L’innovation : ici, l’innovation technologique présente dans le système de refroidissement permet d’obtenir un avantage concurrentiel dans l’efficacité de la production de repas. 

2. Le financement : de nombreux moyens de financement sont accessibles à l’amorçage d’une entreprise innovante. Il faut ensuite penser à rendre l’entreprise rentable, ce qui revient à configurer un modèle économique performant. 

3. La rentabilité : elle est essentielle pour développer une entreprise de manière durable. Pour l’atteindre, il est essentiel de sensibiliser les équipes aux enjeux stratégiques, et bien sûr de rationaliser les charges de la société. 

Pour aller plus loin :

Dans son interview complète, Arthur Capon nous explique comment ils sont passés en quelques années de la préparation de petits plats équilibrés pour les amies de Véro, cuisinés dans la cuisine familiale, à une entreprise rentable qui livre des repas partout en France et en Belgique avec un outil de production de 1 700m2. Nous abordons également les sujets liés à l’innovation, la responsabilité sociétale, et au financement de cette aventure entrepreneuriale.

Dans cette vidéo, Françoise Nauton-Inglis témoigne de son expérience de reprise de l’agence digitale Spiriit, au sein de laquelle elle a mis en place une politique de management collaboratif, basée sur une raison d’être co-construite avec ses équipes.

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. La différence entre l’entrepreneuriat et le repreneuriat : quand on reprend une entreprise, il faut engager les équipes dans un nouveau projet d’entreprise. Et cela passe par un travail collectif et collaboratif sur la culture d’entreprise, qui doit être partagée par tous. 

2. L’importance de la raison d’être dans la culture d’entreprise. Lors de la reprise de Spiriit, la raison d’être de l’entreprise a été redéfinie. Le défi pour l’entreprise est maintenant de la faire vivre, pour maintenir une culture de la créativité et de l’innovation collaborative. 

3. L’importance de la gouvernance dans un projet d’entreprise responsable. Lors de la reprise, la gouvernance a également été redéfinie de manière participative.  

Pour aller plus loin :

Pour aller plus loin et mieux comprendre la vision de notre intervenante, visionnez l’interview complète, où nous abordons plus en détails le fait de concilier une stratégie de croissance externe avec la politique RSE et le respect des valeurs de l’entreprise. 

Dans cette vidéo, Aurélie Armand témoigne de son expérience d’accompagnement des entreprises dans la structuration de politiques de ressources humaines responsables, qui permettent à l’organisation de gagner en performance et en robustesse face aux changements induits par l’environnement. 

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. La notion de performance financière est incontournable, et indissociable de la responsabilité sociale et environnementale. La solidité du modèle économique est donc garante de la capacité de l’entreprise à mettre en place une politique RSE viable. 

2. L’importance de la formalisation du triptyque Vision – Mission – Valeurs, qui forme le socle identitaire de l’entreprise. Il doit être partagé aux équipes, et par les équipes. 

3. L’importance de la cohérence entre la vision, les valeurs, et la réalité des pratiques managériales. Cet alignement est facilité lorsque le dirigeant ou la dirigeante incarne cette mission et ces valeurs. 

Pour aller plus loin :

Visionnez l’interview complète d’Aurélie Perret Armand, où elle nous parle de la manière dont elle accompagne les entreprises en croissance dans leur politique de gestion des ressources humaines. 

Dans cette vidéo, Cécile Clément nous fait un retour d’expérience sur plus de 17 ans d’accompagnement d’entreprises innovantes, notamment au sein du BIC de Montpellier, l’incubateur de la Métropole de Montpellier.

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. Les besoins d’accompagnement : Les entrepreneurs sont de plus en plus formés en amont de la création d’entreprise, et ont besoin d’être accompagnés sur les différentes phases de croissance de leur activité. 

2. Les profils des dirigeants : Il existe de multiples formes d’entrepreneuriat, qui requièrent chacune des compétences différentes. Autre point majeur, lorsqu’une entreprise grandit, les besoins en management d’équipe sont beaucoup plus importants. 

3. L’échec : L’échec d’un projet n’est pas grave, les entrepreneurs peuvent au contraire rebondir et considérer cet échec comme une expérience. 

Pour aller plus loin :

Cécile Clément accompagne les créateurs d’entreprises innovantes depuis 2001. Dans son interview complète, nous revenons sur les évolutions des pratiques entrepreneuriales et des mentalités au sein des écosystèmes économiques. 

Dans cette vidéo, Adrien Conty nous partage sa vision d’un entrepreneuriat responsable orienté sur le respect des limites planétaires et la valorisation du capital humain. Adrien Conty est l’initiateur de La Fabrique des Possibles, un cabinet de conseil qui accompagne les entreprises dans leurs démarches RSE et de transition écologique. 

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. La notion de modèle économique soutenable. Un modèle économique ne peut être soutenable que s’il respecte les ressources naturelles de la planète, c’est à dire qu’il n’en consomme pas plus que ce qu’il en restitue. Autrement dit, un modèle économique responsable doit intégrer les dimensions écologique et sociale. 

2. L’importance du capital humain dans les organisations : Adrien souligne l’importance des modes de coopération dans la performance des organisations. 

3. La notion de pilotage de la responsabilité sociétale : il ne suffit pas de mettre en place des actions RSE, il faut en mesurer les résultats. Et cela se fait par le biais d’indicateurs concrets, qui permettent de suivre la performance globale de l’organisation. 

Pour aller plus loin :

Pour aller plus loin sur la notion de la performance globale de l’entreprise, visionnez l’interview complète d’Adrien Conty, où il nous explique comment La Fabrique des Possibles accompagne les entreprises dans leurs transitions de modèles économiques. 

Dans cette vidéo, Mélody Schmaus, fondatrice de l’Agence Cause, nous parle de sa vision de la communication responsable, entre recherche de performance et responsabilité sociétale. Pour elle, l’engagement RSE d’une entreprise contribue à la force de son positionnement de marque.

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. Le choix du statut d’entreprise à mission combiné à la labellisation B-Corp : l’engagement de l’agence Cause est ainsi formalisé de manière statutaire, et régulièrement vérifié par un organisme indépendant. 

2. Un positionnement de marque fort, axé sur la RSE, qui permet à l’agence de se différencier en affirmant ses valeurs auprès de sa cible de clientèle. Et ce, quitte à refuser des clients. 

3. Des outils de communication pensés en cohérence avec la vision de l’entreprise : par exemple, tous les sites web développés par l’agence sont écoconçus. Pour autant, Mélody Schmaus refuse d’adopter une vision dogmatique de la communication responsable, et explore sans cesse de nouveaux outils, pourvu qu’ils soient utilisables au service de l’impact positif. 

Pour aller plus loin, visionnez l’interview complète de Mélody Schmaus, où elle développe sa vision de l’accompagnement des entreprises, et nous en dit plus sur le statut d’entreprise à mission. 

Marie Gomez-Breysse est la fondatrice de WHY3C : elle accompagne des porteurs de projets à impact sur les premières phases de développement, et notamment sur la conception de business models responsables.   

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. L’importance de l’adéquation personne / projet. Pour bâtir une entreprise responsable, le créateur ou la créatrice doit incarner la mission qu’il/elle défend avec son entreprise. 

2. L’intégration de l’impact au cœur du modèle économique, et ce dès le lancement de l’entreprise. Pour cela, on peut par exemple utiliser un canevas de business model responsable, qui prend en compte les impacts positifs et négatifs de l’entreprise. 

3. Le fait de penser son projet d’entreprise comme un système. C’est en pensant ce système de manière soutenable qu’on devient un entrepreneur responsable, et non en “saupoudrant” son offre de quelques mesures RSE. 

Pour mieux appréhender les enjeux de l’accompagnement des entreprises à impact, nous vous invitons à visionner l’interview complète de Marie Gomez-Breysse.

Dans cette vidéo,  

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

Pour aller plus loin :

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Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

Pour aller plus loin :

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Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

Pour aller plus loin :

Dans cette vidéo, Stéphanie Berrahma, directrice déléguée du fonds CREALIA, nous donne quelques clés du financement des projets d’entreprises responsables. Le dispositif CREALIA permet aux entrepreneurs de financer les premières étapes de leur projet grâce à un prêt d’honneur à taux zéro, en région Occitanie. 

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. L’effet de levier : Le prêt d’honneur permet aux entrepreneurs d’avoir des fonds dès les trois premières années de l’entreprise. Ces fonds permettent par la même occasion de compléter le plan de financement avec des dispositifs complémentaires comme des subventions, et de réaliser des effets de leviers financiers. 

2. L’association à mission : CREALIA s’est inspirée des règles de la société à mission pour mettre en place les bonnes pratiques en termes de responsabilité sociétale. Même si le statut d’”association à mission” n’existe pas encore légalement en France, CREALIA est un exemple d’association engagée et responsable au service d’une mission d’intérêt général. 

3. La sensibilisation : Les acteurs du financement de l’innovation jouent un rôle clé pour sensibiliser les entrepreneurs à la notion d’entrepreneuriat responsable. Chez CREALIA, la responsabilité sociétale constitue un critère essentiel dans la décision de financement des entreprises innovantes. 

Dans l’interview complète, Stéphanie Berrahma explique comment se faire financer par CREALIA quand on est une jeune entreprise innovante. Elle nous raconte également comment CREALIA est devenue la première plateforme de financement “association à mission”, et l’impact que cela à eu à la fois sur l’organisation interne, et sur les entreprises financées.

Dans cette vidéo,  

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

Pour aller plus loin :

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Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

Pour aller plus loin :

Dans cette vidéo, Patrice Roch, directeur du fonds d’investissement Sofilaro (filiale du Crédit Agricole du Languedoc), nous parle de son métier de financeur, et de l’importance croissante de la responsabilité sociétale pour le financement des entreprises.  

Les principaux points à retenir de cette vidéo : 

1. Le métier d’un fonds comme Sofilaro est d’investir en fonds propres dans des entreprises à potentiel de croissance, qu’il s’agisse de startups ou de PME. Les entreprises sont sélectionnées sur des critères comme leur potentiel marché ou encore leur capacité de scalabilité. 

2. Le référentiel européen ESG : L’engagement RSE des entreprises fait désormais partie des critères d’évaluation des fonds d’investissement, en conformité avec le référentiel européen ESG. 

3. Ce critère de performance ESG (environnementale, sociale et de gouvernance) ne remplace pas celui de la performance financière. Il s’y ajoute. Ce qui signifie que pour être finançable par un fonds d’investissement, une entreprise doit désormais prouver qu’elle est responsable, en plus d’avoir un potentiel de rentabilité.  

Pour aller plus loin :

Pour aller plus loin, visionnez l’interview complète de Patrice Roch, où il nous en dit plus sur le fonctionnement d’un fonds d’investissement, et sur les engagements de Sofilaro en matière de responsabilité sociétale.